Au Burkina Faso, 03 grossesses sur 10 sont non désirées et 1/3 des Grossesses Non Désirées (GND) se termine par un avortement (Gutmacher 2013).
Selon l’étude menée par l’Association des Sages-femmes et Maïeuticiens du Burkina Faso entre mai 2018 et avril 2019 dans seulement sept (07) formations sanitaires à Ouagadougou, les Avortements Provoqués Clandestins représentent 74,2 % des cas de grossesses non désirées.
Pour réduire la pratique de l’avortement clandestin et les décès qui y sont liés, nos équipes sur le terrain donnent le meilleur d’elles pour éveiller les consciences quand aux risques de l’avortement clandestin.
Elles travaillent à simplifier le langage juridique et à montrer à la population les informations légales sur l’accès à l’avortement médicalisé. Afin qu’aucune fille ou femme ne meurt dans la pratique clandestine alors même qu’elle en a droit.
Ces activités sont réalisées dans le cadre du projet de renforcement des connaissances des communautés sur le cadre juridique de l’avortement au Burkina Faso, financé par https://www.saafund.org/